• Bibliothèque

    L'histoire de ce blog a commencé par une lecture.
    Rien ne m'y avait préparée.

    Je ne sais plus combien d'ouvrages traitant de la déportation sont passés entre mes mains, au moins une centaine.
    Certains ne sont plus édités mais vous les trouverez encore en livres d'occasion.

  • Au nom de tous les hommes Martin GrayEn baptisant ce blog "Au nom de tous les Hommes", je faisais initialement référence à un autre ouvrage de Martin Gray : "Au nom de tous les miens". 

    Jusqu'à ce que je découvre que c'est aussi le titre d'un autre livre de Martin Gray. 
    Ou du moins le titre tronqué puisque le titre exact de ce livre est "Au nom de tous les hommes : Caïn et Abel".

    J'avoue ne pas l'avoir lu, ce qui ne saurait tarder aussi me contenterai-je de laisser la parole à l'auteur.

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  • Au nom de tous les miens-Martin GrayQuel scénariste aurait pu imaginer une telle histoire sans se voir accuser d'exagération ?

    Car peut-on inventer une vie pareille ? 
    Et un homme peut-il avoir connu une telle existence ?
    La question reste posée encore aujourd'hui à propos de ce livre de Martin Gray, écrit en collaboration avec Max Gallo.

    Alors ? Autobiographie ? Biographie romancée ou pur roman ?
    Apparemment beaucoup en débattent encore mais Au nom de tous les miens reste un livre fort et marquant.

    Paru en 1971, ce fut un best seller, traduit en 26 langues. Il a fait l'objet d'un film éponyme signé Robert Enrico (1983) avec Michael York, Brigitte Fossey et Macha Méryl, ainsi que d'une série'

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  • Oranienburg [...] Gerhart SegerDans le bref historique des camps de concentration, j'évoquais le camp d'Oranienburg qu'on peut considérer comme le premier camp d'importance car si la date officielle d'ouverture est le 21 ars, (un jour après Dachau), en réalité il accueillit ses premiers prisonniers dès le mois de février.
    Parmi les opposants jetés dans ce camp, Gerhart Seger, député au Reichstag sous la République de Weimar et qui aurait pu rester inconnu si il n'avait pas écrit un livre témoignage sur Oranienburg après son évasion.

    Dès mai 1933 deux noms apparaissent dans la presse française : Oranienburg et Dachau. Quand en 1934 sort un livre, un témoignage vécu livré par un homme qui dénonce "Oranienburg-La sinistre geôle de l'Enfer Hitlérien". 

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  • Les médecins maudits Christian Bernadac

    "Au moment d’être admis(e) à exercer la médecine, je promets et je jure d’être fidèle aux lois de l’honneur et de la probité. Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux. Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J’interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité. Même sous la contrainte, je ne ferai pas usage de mes connaissances contre les lois de l’humanité.[...]
    Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire.[...]
    Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément.[...]
    Que les hommes et mes confrères m’accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses ; que je sois déshonoré(e) et méprisé(e) si j’y manque."

    Comme tous les médecins occidentaux du XXème siècle, les médecins allemands prononcèrent le serment d'Hippocrate1 qui posait l'éthique de leur profession. Jusqu'à ce que l'avènement du nazisme n'abolisse l'ordre des valeurs morales.

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